Différence entre le saut de base et le saut à l'élastique

Différence entre le saut de base et le saut à l’élastique

BASE jump est une modalité dans laquelle le base-jumper saute des falaises, des bâtiments, des antennes et même des ponts. Pour ce type d’activité, le base-jumper utilise un parachute adapté aux ouvertures à basse altitude.

L’acronyme B.A.S.E vient de « Building Antenna Span & Earth », ou en portugais, « Building, Antenna, Bridge and Earth », et où la Terre fait référence à la falaise.

Le taux de mortalité des pratiquants de ce sport est très élevé, c’est pourquoi il est interdit dans plusieurs pays. La Suisse, par exemple, est l’un des rares pays où la pratique est légalement autorisée.

Le saut à l’élastique est un sport extrême pratiqué par de nombreux aventuriers courageux, qui consiste à sauter d’une hauteur dans un vide attaché aux chevilles ou à la taille avec une corde élastique. Ce sport est dérivé de Naghol, qui est une sorte de test d’initiation que les garçons d’un village au sud de l’île de la Pentecôte au Vanuatu doivent passer avant de pouvoir commencer à être appelés adultes.

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Origine du saut à l’élastique

L’idée du saut à l’élastique est venue d’un ancien rituel appelé Naghol, encore pratiqué aujourd’hui par les natifs de l’île de la Pentecôte, au Vanuatu, comme une sorte de preuve d’initiation. Pour célébrer la récolte de l’igname, ils se jettent d’une tour de 30 mètres de haut, attachée par la cheville par un cépage.

En 1954, deux journalistes du magazine National Geographic sont venus sur cette île et ont vu des hommes sauter d’une tour avec des vignes attachées aux chevilles. La technique était déjà si avancée que les vignes avaient les mesures exactes pour que quiconque sautait ne touche pas le sol, en maintenant suffisamment de distance pour éviter de se casser le cou.

En 1987, le Néo-Zélandais Alan John Hackett a sauté de la Tour Eiffel à Paris, chose impensable à l’époque et qui a laissé le monde les yeux rivés sur ces «fous» qui se jettent à des hauteurs impressionnantes piégés uniquement par la cheville.

Dès lors, le saut à l’élastique a commencé à être considéré comme un sport radical et compte déjà des milliers de fans dans le monde entier.

Le saut le plus haut

Guinness enregistre uniquement les sauts de plate-forme fixes pour garantir l’exactitude des mesures. John Kockleman, cependant, est entré dans le livre après un saut en ballon de 2 200 pieds en Californie en 1989.

En 1991, Andrew Salisbury a sauté de 9 000 pieds depuis un hélicoptère à Cancun pour un programme télévisé parrainé par Reebok. La corde a atteint une tension maximale de 3157 pieds. Il a atterri en toute sécurité en parachute après le saut.

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